Nouvelle édition en 2015
S'il est besoin de le rappeler, Jean-Philippe Jaworski est l'auteur majeur de la fantasy francophone, avec plus de 230 000 exemplaires vendus, des adaptations audio qui caracolent en tête des ventes, idem en numérique, une adaptation en bande-dessinée (chez Le Lombard) et deux options d'adaptation en cours chez Netflix et Disney+.Ce roman, très attendu, constitue un événement sans précédent dans un domaine qui connaît peu de best-sellers. D'une longueur également exceptionnelle, ce roman a été divisé par l'auteur en trois tomes : Le tournoi des preux (janvier 2023), Le conte de l'assassin (juin 2023) et Le débat des dames (janvier 2024).Ce roman bâti un monument remarquable de fantasy chevaleresque, avec tout autant des tournois minutieusement restitués que de vrais moments de féerie et de magie, des morceaux de bravoure, un suspense remarquable et une ligne narrative incroyablement originale, qui rappelle pourquoi Jaworski est le roi de la fantasy francophone : sa couronne ne sera pas contestée.Le premier tome suit le chevalier Aedan (héros de la nouvelle Le service des dames), un personnage mystérieux et un narrateur tout aussi mystérieux. Le deuxième tome retrouve Benvenuto Gesufal (protagoniste de Mauvaise donne et Gagner la guerre), qu'attendent tous les lecteurs. Le troisième tome conclue l'ensemble des fils narratifs.
«Je m'appelle Bellovèse, fils de Sacrovèse, roi des Turons. Pendant la guerre des Sangliers, le haut roi, mon oncle Ambigat, a tué mon père. Ma mère, mon frère et moi avons été exilés au fond du royaume biturige. Parce que nous étions de son sang, parce qu'il n'est guère glorieux de tuer des enfants, Ambigat nous a épargnés. Le temps a suivi son cours. Nous avons grandi. Alors mon oncle s'est souvenu de nous. Il a voulu régler ce vieux problème : il nous a envoyés, mon frère et moi, guerroyer contre les Ambrones. Dès le début des combats, nous nous sommes jetés au milieu du péril, et je suis tombé dans un fourré de lances. Mais l'impensable s'est produit : je ne suis pas mort.» Premier tome d'une trilogie qui fera date, Même pas mort confirme tout le talent de Jean-Philippe Jaworski et le place au firmament des auteurs de fantasy.
«Voici neuf ans que le haut roi Ambigat m'a admis à sa cour. Voici neuf ans que j'ai trouvé ma place parmi les héros bituriges. Toutefois, quoiqu'il demeure redoutable, le souverain vieillit. Sa force vitale s'épuise et les royaumes de la Celtique déclinent. Nos troupeaux sont malades. Nos blés pourrissent sur pied. Les jeunes fils du souverain meurent... La disette et le mécontentement grondent au sein des tribus. Si les dieux se sont détournés du haut roi, que feront les chefs des nations clientes ? Certains ne rêvent-ils pas de renverser Ambigat, de s'emparer du pouvoir, de restaurer la prospérité ? Et moi, Bellovèse ! Moi qu'Ambigat a jadis privé de son père et de son royaume ! Moi qu'Ambigat a naguère voué à la mort ! Quel parti épouserai-je ? Deviendrai-je un chasseur de roi ? Ou serai-je le jeune roi traqué par la meute ?» Cette première partie de Chasse royale, le deuxième tome de la trilogie Rois du monde, nous plonge au coeur du monde celte : âpre et violent, empli de gloire et de magie. Jean-Philippe Jaworski poursuit ainsi l'édification de ce qui est, d'ores et déjà, un monument de la fantasy historique.
À travers le Vieux Royaume, la guerre des Grands Vassaux fait rage, ne laissant sur son passage que dévastation et désolation. Quelque part en Leomance, un meunier devenu détrousseur de cadavres doit répondre de ses actes devant l'impitoyable tribunal du Desséché tandis que, dans la cité insurgée de Ciudalia, le maître assassin Cuervo Moera se voit confier une mission des plus périlleuses. Dans le massif du Kluferfell, une colonne de guerriers nains et de gnomes se retrouve quant à elle acculée dans une cité perdue sur laquelle plane une malédiction millénaire. Seigneurs et petites gens, humains et elfes, tous sont rattrapés par ce conflit sans fin. Mais, pour certains héros inspirés, la guerre ne comporte peut-être pas que des désagréments...Avec ce recueil de cinq nouvelles, Jean-Philippe Jaworski nous offre, après Janua vera et Gagner la guerre ¿ de´ja` des classiques de la fantasy ¿, une nouvelle plongée dans son Vieux Royaume.
Après avoir défié toute l'armée rebelle pour couvrir la retraite du haut roi, j'ai fini par me rendre. Qu'est-ce qu'un captif, sinon un demimort ? On me retire mon mauvais cheval, on m'arrache mes bijoux, on m'entraîne vers la rivière avec rudesse. On crie autour de moi, j'ai l'impression que personne ne sait vraiment ce qu'il faut faire. Je crains de plus en plus que n'arrive l'ordre de me noyer. La mort par l'eau, après tout, est une sentence que peuvent prononcer les rois comme les druides. Qui va décider de mon sort ? Articnos, roi des Éduens, que j'ai été à deux doigts de tuer ? Sa soeur, la mystérieuse Prittuse, haute reine déchue de Celtique ? Ou bien ce sorcier redoutable que jadis on appelait le gutuater et qui vient d'usurper le sacerdoce du grand druide ?
Dans la Celtique ravagée par la guerre, le mystère plane sur le sort du haut roi. Ambigat est-il mort? L'incertitude excite les convoitises et ajoute au désordre. Par loyauté et par ambition, Bellovèse se lance à sa recherche à travers les contrées écumées par des bandes féroces, mais aussi à travers la géographie des rêves et des oracles. Toutefois, nombreuses sont les meutes qui lui disputent son gibier. Cette troisième partie de Chasse royale, le deuxième tome de la trilogie Rois du monde, nous plonge au coeur du monde celte:âpre et violent, empli de gloire et de magie. Jean-Philippe Jaworski poursuit ainsi l'édification de ce qui est, d'ores et déjà, un monument de la fantasy historique.
Né du rêve d'un conquérant, le vieux royaume n'est plus que le souvenir de sa grandeur passée. Une poussière de fiefs, de bourgs et de cités a fleuri parmi ses ruines, une société féodale et chamarrée où des héros nobles ou humbles, brutaux ou érudits, se dressent contre leur destin. Ainsi Benvenuto l'assassin trempe dans un complot dont il risque d'être la première victime, Ædan le chevalier défend l'honneur des dames, Cecht le guerrier affronte ses fantômes au milieu des tueries. Ils plongent dans les intrigues, les cultes et les guerres du Vieux Royaume. Et dans ses mystères, dont les clefs se nichent au plus profond du coeur humain.
Jean-Philippe Jaworski met une langue finement ciselée au service d'un univers de fantasy médiévale d'une richesse rare. Entre rêves vaporeux et froide réalité, un moment de lecture unique. Janua vera a été récompensé par le prix du Cafard Cosmique 2008.
Entrez dans le Vieux Royaume. De Montefellóne à Ciudalia en passant par Bourg-Preux, venez en découvrir les mystères. Et si vous croisez un certain Benvenuto : tremblez !
Je m'appelle Bellovèse, fils de Sacrovèse, fils de Belinos. Pendant la Guerre des Sangliers, mon oncle Ambigat a tué mon père. Entre beaux-frères, ce sont des choses qui arrivent. Surtout quand il s'agit de rois de tribus rivales... Nouvel omnibus luxe !
Pour le plaisir des connaisseurs, l'ensemble des nouvelles, articles et entretiens de Jaworski non réunis, plus une pièce de théâtre.
Deux récits du Vieux Royaume
Né du rêve d'un conquérant, le vieux royaume n'est plus que le souvenir de sa grandeur passée. Une poussière de fiefs, de bourgs et de cités a fleuri parmi ses ruines, une société féodale et chamarrée où des héros nobles ou humbles, brutaux ou érudits, se dressent contre leur destin. Ainsi Benvenuto l'assassin trempe dans un complot dont il risque d'être la première victime, Ædan le chevalier défend l'honneur des dames, Cecht le guerrier affronte ses fantômes au milieu des tueries. Ils plongent dans les intrigues, les cultes et les guerres du Vieux Royaume. Et dans ses mystères, dont les clefs se nichent au plus profond du cour humain.Jean-Philippe Jaworski met une langue finement ciselée au service d'un univers de fantasy médiévale d'une richesse rare. Entre rêves vaporeux et froide réalité, un moment de lecture unique. Janua vera a été récompensé par le prix du Cafard Cosmique 2008.
Quatrième volet de la grande fresque historique de l'épopée celte, le destin de Bellovèse.
Dans la Celtique ravagée par la guerre, le mystère plane sur le sort du haut roi.
Ambigat est-il mort ? Est-il encore en vie ? L'incertitude excite les convoitises et ajoute au désordre. Par loyauté et par ambition, Bellovèse se lance à la recherche du roi caché. À travers les contrées écumées par des bandes féroces, mais aussi à travers la géographie des rêves et des oracles, il remonte la piste du souverain. Toutefois nombreuses sont les meutes qui lui disputent son gibier. Au terme de la courre, après s'être déchirés à belles dents, combien de limiers auront-ils encore la force de faire curée ?
Volume concluant la deuxième branche (ou deuxième époque) du cycle de Bellovèse.
Voici neuf ans que le haut roi Ambigat m'a admis à la cour du Gué d'Avara. Voici neuf ans que j'ai trouvé ma place parmi les héros bituriges...
Suite de la sage de Bellovèse, pour un volume se terminant par deux climax (un jugement riche de révélations et une évasion où le plus dur est de se dépêtrer d'un sortilège).
Les Réctis du Vieux Royaume en une intégrale de luxe à tirage limité : Le Sentiment du Fer, Janua Vera, Annexe et Gagner la guerre. Tout le cycle best-seller de Jaworski en un grand volume exceptionnel, décoré et illustré !
«Voici neuf ans que le haut roi Ambigat m'a admis à sa cour. Voici neuf ans que j'ai trouvé ma place parmi les héros bituriges. Toutefois, quoiqu'il demeure redoutable, le souverain vieillit. Sa force vitale s'épuise et les royaumes de la Celtique déclinent. Nos troupeaux sont malades. Nos blés pourrissent sur pied. Les jeunes fils du souverain meurent... La disette et le mécontentement grondent au sein des tribus. Si les dieux se sont détournés du haut roi, que feront les chefs des nations clientes ? Certains ne rêvent-ils pas de renverser Ambigat, de s'emparer du pouvoir, de restaurer la prospérité ? Et moi, Bellovèse ! Moi qu'Ambigat a jadis privé de son père et de son royaume ! Moi qu'Ambigat a naguère voué à la mort ! Quel parti épouserai-je ? Deviendrai-je un chasseur de roi ? Ou serai-je le jeune roi traqué par la meute ?» Cette première partie de Chasse royale, le deuxième tome de la trilogie Rois du monde, nous plonge au coeur du monde celte : âpre et violent, empli de gloire et de magie. Jean-Philippe Jaworski poursuit ainsi l'édification de ce qui est, d'ores et déjà, un monument de la fantasy historique.
Après avoir défié toute l'armée rebelle pour couvrir la retraite du haut roi, j'ai fini par me rendre. Qu'est-ce qu'un captif, sinon un demi-mort ? On me retire mon mauvais cheval, on m'arrache mes bijoux, on m'entraîne vers la rivière avec rudesse. On crie autour de moi, j'ai l'impression que personne ne sait vraiment ce qu'il faut faire. Je crains de plus en plus que n'arrive l'ordre de me noyer. La mort par l'eau, après tout, est une sentence que peuvent prononcer les rois comme les druides. Qui va décider de mon sort ? Articnos, roi des Éduens, que j'ai été à deux doigts de tuer ? Sa soeur, la mystérieuse Prittuse, haute reine déchue de Celtique ? Ou bien ce sorcier redoutable que jadis on appelait le gutuater et qui vient d'usurper le sacerdoce du grand druide ? Cette seconde partie de Chasse royale, le deuxième tome de la trilogie Rois du monde, nous plonge au coeur du monde celte : âpre et violent, empli de gloire et de magie. Jean-Philippe Jaworski poursuit ainsi l'édification de ce qui est, d'ores et déjà, un monument de la fantasy historique.
Dans la Celtique ravagée par la guerre, le mystère plane sur le sort du haut roi. Ambigat est-il mort ? L'incertitude excite les convoitises et ajoute au désordre. Par loyauté et par ambition, Bellovèse se lance à sa recherche à travers les contrées écumées par des bandes féroces, mais aussi à travers la géographie des rêves et des oracles. Toutefois, nombreuses sont les meutes qui lui disputent son gibier. Cette troisième partie de Chasse royale, le deuxième tome de la trilogie Rois du monde, nous plonge au coeur du monde celte : âpre et violent, empli de gloire et de magie. Jean-Philippe Jaworski poursuit ainsi l'édification de ce qui est, d'ores et déjà, un monument de la fantasy historique.
Dans l'univers du Vieux Royaume, une belle fable chevaleresque.
« Je suis Ædan, chevalier de Vaumacel, dit-il. Mon écuyer s'appelle Naimes ; ne raillez point son air chenu, il ne fait pas bon lui chercher querelle. Le jeune Coel me sert de page. » Adaptée en roman graphique par Sébastien Hayez, une formidable nouvelle de Jean-Philippe Jaworski
Vieux Royaume, République de Ciudalia. Benvenuto Gesufal, assassin à la solde de la Guilde des Chuchoteurs, accepte un nouveau contrat. Un coup facile, un meurtre de routine. Il entre, dague, décarre et empoche le pactole.
Seulement, il y a une tuile. Tout dérape et Benvenuto s'y retrouve jusqu'au cou. Lui qui devait simplement suriner un anonyme se retrouve l'homme à abattre. Quand le chasseur devient la proie, rien n'est de trop pour sauver sa peau.
Livre entièrement en bichromie violet-orange, relié, dos rond
Cette édition propose tous les romans publiés du vivant de Fitzgerald, à quoi vient naturellement s'ajouter Le Dernier Nabab, «roman inachevé», dit-on généralement, alors qu'il s'agit plutôt d'un chantier littéraire : l'organisation interne de l'oeuvre posait à l'auteur des problèmes qui n'avaient pas encore été résolus au moment de sa mort, le 21 décembre 1940. Le texte est ici retraduit sous le titre figurant sur le dactylogramme laissé par Fitzgerald : Stahr. A Romance, et il est suivi de documents permettant de mieux cerner le projet dont il est le vestige.
Fitzgerald a également publié quatre recueils de nouvelles - auxquels le public français n'a jamais eu véritablement accès : alors que leur auteur les avait conçus et revus avec soin, dans l'espoir de corriger sa réputation (équivoque) de collaborateur des magazines de grande diffusion, ils n'ont jamais été traduits en l'état dans notre langue. On découvrira donc ici Garçonnes et philosophes, Contes de l'âge du jazz, Tous les jeunes gens tristes, Quand sonne la diane, et c'est, par exemple, au sein des Contes de l'âge du jazz qu'on lira des nouvelles aussi célèbres que «Le Diamant gros comme le Ritz» ou «L'Étrange Histoire de Benjamin Button». S'ajoutent à ces recueils les Autres histoires de Basil et de Josephine, fictions non recueillies liées à Quand sonne la diane, et les Histoires de Pat Hobby, que Fitzgerald publia dans la presse puis révisa afin de les faire paraître en volume ; la mort, là encore, empêcha la réalisation du projet.
Enfin, figure au tome II, sous l'intitulé Récits, un choix d'articles ou d'«essais personnels» (à caractère autobiographique) publiés dans divers périodiques entre 1924 et 1939 et jamais réunis par Fitzgerald. C'est dans cette section qu'on lira la célèbre «Fêlure», parue dans Esquire en 1936 : l'aveu, par l'écrivain fatigué et amer, de sa dépression.
Que la première édition française respectant les choix éditoriaux de Fitzgerald paraisse près de trois quarts de siècle après sa mort a de quoi surprendre. C'est pourtant explicable. Les contemporains de l'écrivain n'ont jamais vraiment su que faire ni que penser de son oeuvre, et les clichés qu'ils ont répandus (peintre habile mais superficiel, «inventeur» d'une génération, etc.) ont eu la vie dure. Depuis, ces jugements ont été révisés à l'occasion de réévaluations successives, mais «le mythe Fitzgerald» (élaboré avec la complicité de l'intéressé) continue, dans une large mesure, à faire écran. Sans doute disposons-nous à présent de la distance nécessaire pour entreprendre de dégager la littérature de Scott Fitzgerald de ce qui la masque. Telle est l'ambition dont ces deux volumes voudraient être les instruments.